Clair de Lune
Pastel sur papier 27 x 24 cm
600 €
Louis Ernest FORTUNEY
De son vrai nom: Louis Ernest Fortuné ANDRIEUX dit FORTUNEY ( 1875 – 1951 ) peintre, fresquiste, graveur, lithographe et pastelliste français
Pour des raisons de confusion avec l’homme politique Louis Andrieux, il prend le pseudonyme de Fortuney.
Ami de Rodin, il peint avec lui dans le sud de la France, à Cagnes-sur-mer.
Fortuney est surtout inspiré par la mer, les lumières Bretonnes et celles de la Méditerranée. L’Etat commande d’importantes toiles destinées à décorer le Ministère de la Marine, mais il n’a jamais été peintre officiel de la Marine.
Il peint, par ailleurs, beaucoup de scènes représentant les femmes dans les rues de Paris.
De nombreuses œuvres illustrent la vie parisienne et les cafés, des scènes de vie prises sur le vif, avec la même instantanéité que les impressionnistes.
A côté d’une inspiration très parisienne, il déploie dans ses marines et dans ses scènes de port croquées sur le vif une vigueur incisive, qui contraste avec la virtuosité de ses scènes de genre.
Expert dans l’usage du pastel, très à la mode à la belle Epoque, il excelle à rendre le velouté des tissus et des teintes et coloris, d’une douceur extrême.
De son vrai nom: Louis Ernest Fortuné ANDRIEUX dit FORTUNEY ( 1875 – 1951 ) peintre, fresquiste, graveur, lithographe et pastelliste français
Pour des raisons de confusion avec l’homme politique Louis Andrieux, il prend le pseudonyme de Fortuney.
Ami de Rodin, il peint avec lui dans le sud de la France, à Cagnes-sur-mer.
Fortuney est surtout inspiré par la mer, les lumières Bretonnes et celles de la Méditerranée. L’Etat commande d’importantes toiles destinées à décorer le Ministère de la Marine, mais il n’a jamais été peintre officiel de la Marine.
Il peint, par ailleurs, beaucoup de scènes représentant les femmes dans les rues de Paris.
De nombreuses œuvres illustrent la vie parisienne et les cafés, des scènes de vie prises sur le vif, avec la même instantanéité que les impressionnistes.
A côté d’une inspiration très parisienne, il déploie dans ses marines et dans ses scènes de port croquées sur le vif une vigueur incisive, qui contraste avec la virtuosité de ses scènes de genre.
Expert dans l’usage du pastel, très à la mode à la belle Epoque, il excelle à rendre le velouté des tissus et des teintes et coloris, d’une douceur extrême.
