Gouache sur panneau 20 x 27 cm
650 €
Lucien GENIN
Lucien Genin (1894 – 1947 ) peintre français, paysages Parisiennes
Réformé en 1914, il suit l’enseignement de l’école des beaux-arts de Rouen.
Lucien Genin a 25 ans et s’installe pour de bon à Montmartre. Il partage sa jeunesse avec Ginette, une jeune fille perdue. Lucien Genin liera amitié avec les peintres Frank-Will, Gen Paul , Émile Boyer, Pierre Dumont, Marcel Leprin, ainsi que Max Jacob et Dorival.
Plus que peintre de Paris, Genin est peintre des Parisiens, de la dévorante passion qui agite tous ses personnage de la grande ville. Il les peint dans les ruelles de Montmartre, dînant le soir place du Tertre.
Il est tour à tour à Nogent-sur-Marne, à Marseille et Cassis, à Cannes et à Villefranche-sur-Mer. Il est à Douarnenez en 1929 en compagnie de Pierre Colle, Giovanni Leonardi et Max Jacob. Il peint le port de Rosmeur le jour de la fête des filets bleus et expose son tableau au Salon d’automne de 1930. Il témoigne de la fin des années folles et de la crise mondiale de 1929. En novembre 1929, André Warnod écrit de sa peinture : « Lucien Genin décrit Paris avec une fougue parfois hâtive mais avec un goût plaisant des couleurs vives ». Durant ces dix années, il pratique une peinture intelligente, composée, colorée, sensible, habile, délicate, humoristique et cocasse. Un tableau de Lucien Genin obtient en 1932 le prix de l’Art Institute of Chicago.
Genin vit et vend ses gouaches dans le quartier, chez Cailac ou chez Barreiro, chez Anacréon ; Léo Larguier et Maurice Rheims en possèdent.
En 1947, il part une dernière fois pour Cassis et expose à son retour à la galerie Bernard. Il ne quittera plus le quartier des Beaux-Arts. Il peint là-haut dans sa chambre des paysages rêvés sur son chevalet posé sous la fenêtre, là où Robert Doisneau le visite quelques semaines avant sa mort.
Il était entré la veille à l’hôpital Cochin. Amputé d’une jambe gangrenée, il ne survécut pas à l’opération. Il est inhumé au cimetière parisien de Thiais.
Lucien Genin (1894 – 1947 ) peintre français, paysages Parisiennes
Réformé en 1914, il suit l’enseignement de l’école des beaux-arts de Rouen.
Lucien Genin a 25 ans et s’installe pour de bon à Montmartre. Il partage sa jeunesse avec Ginette, une jeune fille perdue. Lucien Genin liera amitié avec les peintres Frank-Will, Gen Paul , Émile Boyer, Pierre Dumont, Marcel Leprin, ainsi que Max Jacob et Dorival.
Plus que peintre de Paris, Genin est peintre des Parisiens, de la dévorante passion qui agite tous ses personnage de la grande ville. Il les peint dans les ruelles de Montmartre, dînant le soir place du Tertre.
Il est tour à tour à Nogent-sur-Marne, à Marseille et Cassis, à Cannes et à Villefranche-sur-Mer. Il est à Douarnenez en 1929 en compagnie de Pierre Colle, Giovanni Leonardi et Max Jacob. Il peint le port de Rosmeur le jour de la fête des filets bleus et expose son tableau au Salon d’automne de 1930. Il témoigne de la fin des années folles et de la crise mondiale de 1929. En novembre 1929, André Warnod écrit de sa peinture : « Lucien Genin décrit Paris avec une fougue parfois hâtive mais avec un goût plaisant des couleurs vives ». Durant ces dix années, il pratique une peinture intelligente, composée, colorée, sensible, habile, délicate, humoristique et cocasse. Un tableau de Lucien Genin obtient en 1932 le prix de l’Art Institute of Chicago.
Genin vit et vend ses gouaches dans le quartier, chez Cailac ou chez Barreiro, chez Anacréon ; Léo Larguier et Maurice Rheims en possèdent.
En 1947, il part une dernière fois pour Cassis et expose à son retour à la galerie Bernard. Il ne quittera plus le quartier des Beaux-Arts. Il peint là-haut dans sa chambre des paysages rêvés sur son chevalet posé sous la fenêtre, là où Robert Doisneau le visite quelques semaines avant sa mort.
Il était entré la veille à l’hôpital Cochin. Amputé d’une jambe gangrenée, il ne survécut pas à l’opération. Il est inhumé au cimetière parisien de Thiais.