Huile sur carton 35 x 58 cm
4000 €
Rene SEYSSAUD
René Seyssaud (1867-1952) peintre provençal, précurseur du fauvisme
Membre de la Nouvelle école d’Avignon. Ne à Marseille de père était avocat. Celui-ci l’inscrit aux Beaux-Arts.
Il se fait remarquer par son tempérament puissant et sa palette audacieuse aux couleurs vives, ce qui le fait présenter comme un précurseur du fauvisme. Sa première exposition importante a eu lieu, en 1892, au Salon des Indépendants de Paris. Il inaugura ensuite le Salon d’Automne et le Salon des Tuileries.
Son mariage, en 1899, lui donna l’opportunité de s’installer à Villes-sur-Auzon, où il choisit comme thèmes picturaux le Mont Ventoux et les gorges de la Nesque.
Atteint de tuberculose, ses médecins lui conseillèrent de se rapprocher de la mer et il déménagea, en 1904, pour rejoindre Saint-Chamas où son atelier dominait l’étang de Berre.
Il revint pourtant souvent faire des séjours au pied du Ventoux et au milieu des années 1930, il s’aménagea même un atelier à Aurel.
Sur les instances de ses amis Chabaud et Serra, il fut fait officier de la Légion d’honneur
René Seyssaud (1867-1952) peintre provençal, précurseur du fauvisme
Membre de la Nouvelle école d’Avignon. Ne à Marseille de père était avocat. Celui-ci l’inscrit aux Beaux-Arts.
Il se fait remarquer par son tempérament puissant et sa palette audacieuse aux couleurs vives, ce qui le fait présenter comme un précurseur du fauvisme. Sa première exposition importante a eu lieu, en 1892, au Salon des Indépendants de Paris. Il inaugura ensuite le Salon d’Automne et le Salon des Tuileries.
Son mariage, en 1899, lui donna l’opportunité de s’installer à Villes-sur-Auzon, où il choisit comme thèmes picturaux le Mont Ventoux et les gorges de la Nesque.
Atteint de tuberculose, ses médecins lui conseillèrent de se rapprocher de la mer et il déménagea, en 1904, pour rejoindre Saint-Chamas où son atelier dominait l’étang de Berre.
Il revint pourtant souvent faire des séjours au pied du Ventoux et au milieu des années 1930, il s’aménagea même un atelier à Aurel.
Sur les instances de ses amis Chabaud et Serra, il fut fait officier de la Légion d’honneur