Theodore ROUSSEAU

Théodore Rousseau ( de son vrai nom Étienne Pierre Théodore ) 1812 – 1867 peintre paysagiste, co- fondateur de l’Ecole des peintres de Barbizon

Il se forme auprès de son cousin Pierre Alexandre Pau de Saint Martin, et de Jean-Charles-Joseph Rémond. Ensuite il devient élève de Guillaume Guillon Lethière ( professeur de l’École des beaux-arts de Paris ) .
Participant au salon de Paris de 1831 à 1835, à la suite d’un refus au salon, il part s’installer à l’approche de la forêt de Fontainebleau. Avec les peintres amis : Jean-Baptiste Camille Corot, Jean-François Millet, Honoré Daumier, Jules Dupré, Charles Le Roux, ils fondent l’école de Barbizon.
En 1847, il loue une petite maison et installe son atelier dans la grange attenante . Actuellement l’atelier est devenu l’ annexe du musée départemental de l’École de Barbizon

Théodore Rousseau est un artiste controversé par son public . Admiré et méprisé en son temps. Il possède un caractère réaliste par sa volonté de peindre la nature telle qu’elle est, et un caractère romantique par la nature qui est reflété dans ses œuvres.
Il est décédé en décembre 1867 à Barbizon.
Rousseau tient à représenter « tout ce que la nature contient de germinations étranges ». Dans son œuvre, l’arbre occupe une large place. Tout au long de sa carrière, il multiplie les esquisses d’arbres notamment en forêt de Fontainebleau. Il est considéré comme un « anatomiste » de l’arbre. Mais bien plus qu’un exercice académique, l’arbre revêt chez lui une symbolique particulière. Il est l’incarnation de la continuité de la vie. La représentation de la lumière fut son ambition. Mais elle est à l’origine de tous ses tourments. Elle devient rapidement une obsession à tel point que Rousseau multiplie les expériences picturales pour tenter de la traduire. Théodore Rousseau est ainsi l’un des premiers paysagistes à représenter la lumière tombant à la verticale dans son chef-d’œuvre “Une avenue Forêt de l’Isle-Adam” présenté au Salon de Paris en 1849.
La reconnaissance officielle de Rousseau vient en avril 1848, lorsque Philippe-Auguste Jeanron et Charles Blanc se rendent, en un geste symbolique, dans l’atelier que Jules Dupré et Rousseau partageaient rue Jean-Baptiste-Pigalle pour leur commander une œuvre à chacun.
Théodore Rousseau exécute Lisière en forêt de Fontainebleau, soleil couchant (Paris, musée du Louvre), une œuvre à la composition faussement classique.
Il revient au Salon en 1849, où toutes ses toiles sont admises.
Le Salon de 1852 est celui de la consécration du peintre : il y expose Groupe de chênes à Apremont ; il est nommé la même année, chevalier de la Légion d’honneur.

Il s’investit dans la lutte contre l’abattage des arbres qu’il qualifie de « carnage » ou de « condamnation à mort ». Rousseau avait déjà dénoncé ce phénomène dans Le Massacre des innocents, une toile composée en 1847
(La Haye, Collection Mesdag).
Lors d’un voyage en Picardie en 1857, Rousseau est très impressionné par l’aspect rustique et inchangé de Becquigny, village non loin de Saint-Quentin.
Théodore Rousseau participe à l’Exposition universelle de 1855, où il obtient la médaille d’or, puis, à celle de 1867, dont il préside le jury et obtient la médaille d’honneur.
Le peintre paysagiste Paul Huet vivra mal ses critiques.
la même année il est promu officier de la Légion d’honneur .

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Théodore Rousseau ( de son vrai nom Étienne Pierre Théodore ) 1812 – 1867 peintre paysagiste, co- fondateur de l’Ecole des peintres de Barbizon

Il se forme auprès de son cousin Pierre Alexandre Pau de Saint Martin, et de Jean-Charles-Joseph Rémond. Ensuite il devient élève de Guillaume Guillon Lethière ( professeur de l’École des beaux-arts de Paris ) .
Participant au salon de Paris de 1831 à 1835, à la suite d’un refus au salon, il part s’installer à l’approche de la forêt de Fontainebleau. Avec les peintres amis : Jean-Baptiste Camille Corot, Jean-François Millet, Honoré Daumier, Jules Dupré, Charles Le Roux, ils fondent l’école de Barbizon.
En 1847, il loue une petite maison et installe son atelier dans la grange attenante . Actuellement l’atelier est devenu l’ annexe du musée départemental de l’École de Barbizon

Théodore Rousseau est un artiste controversé par son public . Admiré et méprisé en son temps. Il possède un caractère réaliste par sa volonté de peindre la nature telle qu’elle est, et un caractère romantique par la nature qui est reflété dans ses œuvres.
Il est décédé en décembre 1867 à Barbizon.
Rousseau tient à représenter « tout ce que la nature contient de germinations étranges ». Dans son œuvre, l’arbre occupe une large place. Tout au long de sa carrière, il multiplie les esquisses d’arbres notamment en forêt de Fontainebleau. Il est considéré comme un « anatomiste » de l’arbre. Mais bien plus qu’un exercice académique, l’arbre revêt chez lui une symbolique particulière. Il est l’incarnation de la continuité de la vie. La représentation de la lumière fut son ambition. Mais elle est à l’origine de tous ses tourments. Elle devient rapidement une obsession à tel point que Rousseau multiplie les expériences picturales pour tenter de la traduire. Théodore Rousseau est ainsi l’un des premiers paysagistes à représenter la lumière tombant à la verticale dans son chef-d’œuvre “Une avenue Forêt de l’Isle-Adam” présenté au Salon de Paris en 1849.
La reconnaissance officielle de Rousseau vient en avril 1848, lorsque Philippe-Auguste Jeanron et Charles Blanc se rendent, en un geste symbolique, dans l’atelier que Jules Dupré et Rousseau partageaient rue Jean-Baptiste-Pigalle pour leur commander une œuvre à chacun.
Théodore Rousseau exécute Lisière en forêt de Fontainebleau, soleil couchant (Paris, musée du Louvre), une œuvre à la composition faussement classique.
Il revient au Salon en 1849, où toutes ses toiles sont admises.
Le Salon de 1852 est celui de la consécration du peintre : il y expose Groupe de chênes à Apremont ; il est nommé la même année, chevalier de la Légion d’honneur.

Il s’investit dans la lutte contre l’abattage des arbres qu’il qualifie de « carnage » ou de « condamnation à mort ». Rousseau avait déjà dénoncé ce phénomène dans Le Massacre des innocents, une toile composée en 1847
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Lors d’un voyage en Picardie en 1857, Rousseau est très impressionné par l’aspect rustique et inchangé de Becquigny, village non loin de Saint-Quentin.
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la même année il est promu officier de la Légion d’honneur .

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